Je relis mon dernier billet... la citation de Lévy... Je la relis pour bien la comprendre, l'apprendre par coeur, la mémoriser, la retenir, l'imprimer dans ma cervelle, dans mon coeur...
Visite impromptue chez Patrick. C'est presque la dernière semaine du mois (et pour être franche, pour soulager ma conscience parce que je viens de faire une grosse épicerie et que mon frigo déborde) et je sais qu'il ne mange probablement pas à sa faim... Je fais un micro-panier de l'espoir : petits pots de confiture, café instantané, soupes en boîte... Il a déménagé dans l'autre immeuble du complexe de studios mais son nom n'a pas déménagé lui... Je sonne à une place, à l'autre, revient à la première, sonne, re-sonne, rere-sonne... Je sacre...Il apparaît en personne, un sandwich dans la main, son 'buzzer' étant défectueux...
Son père apporte le micro-panier et on monte tous à son appartement. Il y a un gars dans son appartement. Un 'semblable' (ils se ressemblent tous...). Ils jouaient au PlayStation en fumant du hasch... Lorsque je lui demande si cette affaire-là reste avec lui, il me dit que c'est un voisin de palier. Il est 13h30 et... à 40 ans... il joue au PlayStation... en fumant du hasch... et moi qui m'en faisais pour lui, qui se sentais croche d'avoir le frigo plein... Tab...!!! Tab... d'imbécile (l'imbécile, c'est moi, vous aurez compris...)!!! Je lui laisse 5$ pour qu'il prenne l'autobus dimanche (ma mère fait son épluchette de blé d'inde... misère... mais ça c'est une autre histoire)... Je veux lui laisser $40 pour de l'épicerie, mais il s'objecte poliment... Je décide donc de ne lui laisser que 20$... question d'apaiser ma colère... (je lui donnerai le 20$ dimanche, s'il se présente chez sa grand-mère).
Je la relis une fois de plus cette citation... Je ne peux être la seule responsable de cette situation...
jeudi 24 août 2017
lundi 21 août 2017
Du bon sur FB... quelquefois...
Mon ami Richard J. a publié cette citation sur FB.
J'ai essayé, mais pas trop longtemps tout de même, de voir si cette citation de Lévy était véridique et je n'ai rien trouvé.
Mais elle me 'parle'... beaucoup...
On peut blâmer son enfance, Accuser indéfiniment ses parents de tous les maux qui nous accablent, Les rendre coupables des épreuves de la vie, de nos faiblesses, de nos lâchetés, Mais finalement on est responsables de sa propre existence, On devient qui l'on a décidé d'être...
Marc Levy
mercredi 2 août 2017
Autopsie d'un matelas de roulotte
La Princesse au petit pois... Qui ne connaît pas ce conte?
Pour 'ménager' (c'est ma force, mais également ma faiblesse), j'avais ajouté une couche de mousse, de qualité tout de même, au matelas existant de la Grosse. Et j'avais même considéré en ajouter une autre...
Aux grands maux (de dos), les grands remèdes (moins onéreux que le chiro!)! Nous l'avons plutôt remplacé par un autre, de qualité celui-là, avec des ressorts ensachés! Disons que pour le rentrer dans la roulotte, puis dans la chambre, nous avons dû faire quelques contorsions. Aucune entorse, sauf à notre budget... Nous avons remis toute la literie et fait un petit essai en position horizontale... Il sera parfait!
Quant à l'ex-matelas, on lui a découvert une fermeture éclair sur l'une ses faces (cachées). Misère... Il ne contenait que trois couches d'épaisseurs variées d'une matière fibreuse douteuse... Pas étonnant qu'on ait eu la douloureuse impression d'être couchés sur les planches (quand tu n'es pas mort ni fakir, c'est pas une bonne idée...).
Au tour de celui de notre chambre à coucher... lorsque notre cochon aura pris un peu de poids...
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