mardi 27 février 2018

Je reprends mes chroniques littéraires

Mon amie Nicole-autrefois-de-Montréal-rendue-à-Magog s'ennuie de son Vieux Bouc... C'est vrai qu'il manque de bouquineries dans les Cantons de l'Est... Je vais l'amener à Racine lorsque le mercure permettra d'ouvrir le presbytère... une caverne d'Ali Baba...

Durant les quatre mois que j'ai passés au Texas, j'ai lu une vingtaine de livres dont au moins quatre en format numérique. Des romans de tous genres. J'aurais pu, évidemment, les commenter, mais non... je les ai tous aimés mais pas au point de partager mon enthousiasme. Je les ai offerts à ma copine qui en était à son dernier livre, mais elle n'a pas daigné y jeter un coup d'oeil... Je les ai finalement offerts à une Québécoise en vacances sur l'île, qui s'est fracturé le tibia et qui va devoir oublier la planche à voile pour quelques temps...

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Je viens de terminer la lecture de ce roman : Le Plongeur de Stéphane Larue.


(Source ; Les Libraires) Nous sommes à Montréal au début de l’hiver 2002. Le narrateur n’a pas vingt ans. Il aime Clive Barker et Lovecraft, le métal, les comic books et les romans de science-fiction des années soixante et soixante-dix que lui prête son père. Étudiant en graphisme, il dessine depuis toujours et veut devenir bédéiste et illustrateur, comme ses idoles Moebius et Tibor Csernus. Mais depuis des mois, il évite ses amis, ment, s’endette, aspiré dans une spirale qui menace d’engouffrer sa vie entière : c’est un joueur. Il joue aux loteries vidéo et tout son argent y passe, de même que celui qu’il emprunte à sa copine Marie-Lou et à son cousin Malik. L’hiver installé, il se retrouve à bout de ressources, sans appartement. Il devient plongeur au restaurant La Trattoria, projeté dans un rush dès le premier soir. Le cuisinier qui l’accueille et lui donne son training accéléré, c’est Bébert, ogre infatigable au bagou de rappeur, encore jeune à vingt-cinq ans mais qui a travaillé partout, déjà usé par l’alcool et le speed. Pendant un mois et demi, ils enchaîneront ensemble les shifts de soir et les doubles, et Bébert tiendra auprès du plongeur le rôle de mentor malgré lui et de flamboyant Virgile de la nuit. On découvre ainsi le train survolté d’un restaurant à l’approche des fêtes et sa galerie mouvante de personnages, propriétaire, chef, sous-chefs, cuisiniers, maîtres d’hôtel, serveuses, busboys et suiteurs.Si certains d’entre eux semblent plus grands que nature, tous sont dépeints au plus près des us du métier, avec une rare justesse. C’est en leur bruyante compagnie que, débordé de toutes parts, le plongeur tente de juguler son obsession pour les machines de vidéopoker, traversant les cercles d’une saison chaotique rythmée par les rush, les luttes de pouvoir et les décisions néfastes.
 


Je n'avais lu que de bonnes critiques sur cette oeuvre, d'où ma curiosité de la lire lorsque j'ai trouvé le format numérique sur le web. C'est bien écrit, en québécois de Montréal évidemment... Le rythme est soutenu. Les descriptions des personnages, des lieux et des ambiances sont pertinentes et justes. On "voit" immédiatement les personnes, les contextes. On s'attend à un autre dénouement mais la fin est sans redondance. Si je devais lui accorder une note, ce serait 3,5/5... et je le recommanderais.

De retour dans mon antre, je retrouve - non sans un certain plaisir - ma PAL sur le dessus de laquelle il y a le roman Maine que Nicole m'a fait suivre via son amie racinoise, Danielle. Sûrement ma prochaine lecture...

mardi 6 février 2018

Qu'est-ce qu'on mange pour souper?


La sempiternelle question... Je déteste cette période de l'après-midi, alors que 17 heures approche...

Il me semble que certains jours, deux bonnes rôties et un bol de céréales feraient l'affaire... mais ce n'est pas l'avis de mon partenaire... Pourtant, après l'eau bouillante, ce serait à la hauteur de ses compétences culinaires... Après 43 années, il est trop tard...

Chaque nouveauté au menu - pourtant fortement recommandée par les membres de Pinterest - vient avec son lot de critiques. Des "expériences" qu'il dit... Alors je me tiens dans les sentiers battus : patates (pilées, de préférence), boeuf haché (hamburg steak, hamburgers), poulet rôti, spaghetti, pizza... Surtout pas de parmesan...

Dans un monde idéal, mon mari me ferait des suggestions de menu, ferait les courses, préparerait la salade, les légumes, mettrait le couvert, brasserait la sauce, pilerait les pommes de terre... Ultimement, il ferait le café... Mais la réalité est toute autre... et je choisis mes batailles... Ce sera donc simple mais connu : steak-blé d'inde-patates... Une valeur sûre... Un plat réconfortant qui est meilleur réchauffé...

Reste le dossier de la vaisselle maintenant... Misère...

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