mardi 16 avril 2019

Toujours dans ma zone de confort


Je voulais sortir de ma zone de confort, découvrir de nouveaux genres, de nouveaux auteurs, de nouveaux thèmes.... mais ces temps-ci, j'opte pour la facilité, le plaisir...

Je me suis cependant permis cette nouvelle auteure, Harriet Tyce, que Nicole n'avait pas encore lue (étonnamment !), et ce fût un choix heureux.


Résumé  :  Alison Wood est avocate pénaliste. À mesure que sa carrière décolle, sa vie familiale se dégrade : elle passe ses journées à plaider et ses soirées dans les bars pour décompresser. Patrick, un collègue avec qui elle entretient une liaison toxique, souffle le chaud et le froid et l'humilie tout autant qu'il se sert d'elle. Pourtant, Alison n'arrive pas à décrocher. Quand Patrick lui confie sa première affaire de meurtre, elle se plonge dans l'histoire de sa cliente, Madeleine, qui a poignardé son conjoint d'une quinzaine de coups de couteau. Au fil de leurs entretiens, Madeleine se livre : son mari diluait la pilule contraceptive dans son thé, examinait toutes ses dépenses, prenait toutes les décisions....
Petit à petit, leurs deux vies se font écho. Qui contrôle qui ? Et si, avant de défendre les autres, Alison commençait par se défendre elle-même ? (source : Booknode)

Blood Orange de Harriet Tyce paru chez Robert-Laffont en février 2019. Une autre suggestion de lecture de je ne me souviens plus qui - je suis abonnée à tant de pages littéraires et d'influenceurs sur FB - et que j'avais téléchargée. Une auteure que je ne connaissais pas et un titre accrocheur... bref, tout pour exciter ma curiosité! La trame de fond de ce thriller psychologique a beau avoir été relativement exploitée et les personnages très vraisemblables, il n'en demeure pas moins que le rythme est soutenu et accrocheur. La fin aurait pu être un peu plus originale, mais bon, je pense que cette auteure ne tardera pas à être plus audacieuse. Un 3,75 sur 5.


En ce début d'automne, pluvieux et venteux, Kurt Wallander semble fatigué, usé. "Je voudrais me mettre en congé de moi-même, de cette pesanteur que je traîne et qui me mine. Je n'en peux plus". Trente ans de carrière et une envie d'arrêter. "Je deviens trop vieux y compris à mes propres yeux. Trop vieux pour moi, et trop vieux pour mon métier." Sans entrain, la tête vide, il a néanmoins le projet d'une retraite au calme, loin de l'agitation de la ville. En quête d'une maison à acheter dans la campagne scanienne, il visite une vieille bâtisse appartenant à la famille de son collègue Martinsson, située non loin de celle de son défunt père. C'est là, dans le jardin, enfouis sous des feuilles, qu'il découvre les restes d'une main humaine. Une main appartenant à une femme morte pendue, il y a plus de 50 ans. Commence alors l'enquête du commissaire, minutieuse mais assez prompte, suivie également de près par sa fille Linda. Un retour sur le passé historique de la Suède, notamment  sur celui de la Scanie, région frontalière entourée de pays en conflit pendant la seconde guerre mondiale et terre d'accueil de nombreux réfugiés. Même survolé, cet aspect de l'Histoire suédoise suscite la curiosité et séduit le lecteur. Quant à Wallander, toujours exaspéré par ses pensées noires, amer et désabusé, il conserve notre sympathie et notre attachement, toujours aussi proche, absolument réel. (source : www.actualitte.com)

Petit bonheur de seulement 157 pages, sans soubresauts ni longueurs, que j'ai téléchargé un jour et dont j'avais oublié la présence dans ma liseuse.... Il me manquait, ce Wallander dont j'ai visionné tous les épisodes l'automne dernier... 


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