Convoqué dans une vieille ferme abandonnée, Armand Gamache apprend qu’une parfaite inconnue l’a choisi comme exécuteur testamentaire avec Myrna Landers, la libraire de Three Pines, et Benedict Pouliot, un jeune entrepreneur. Intrigués, tous trois acceptent ce rôle et découvrent des clauses tellement insolites qu’ils doutent de la santé mentale de la défunte. À moins qu’elle ne soit, au contraire, particulièrement lucide et consciente du danger qui pèse sur ses héritiers. Telle est l’intuition de Gamache qui se méfie davantage des évidences depuis que, sur un autre front, il a sacrifié sa carrière pour lutter contre le narcotrafic. En voulant piéger les cartels, n’a-t-il pas libéré dans les rues de Montréal le pire opiacé qui soit ? En recrutant l’insaisissable Amelia Choquet, n’a-t-il pas introduit l’ennemi dans les rangs de la police ? Pour faire la lumière sur ces deux affaires, l’ancien chef de la Sûreté du Québec n’a d’autre choix que de se lancer dans une course contre la montre et contre la mort. (source : flammarion.qc.ca)
Le 14e selon Sophie Ouimet de La Presse (autre bizarrerie, sur le site de Penny, voir le lien ci-après, celui-ci serait le 15e!) de la saga Armand Gamache...
Les avis sont partagés... Disons que Nicole et moi avons des avis divergents quant à l'importance de lire les séries dans leur ordre de parution... Il faut premièrement faire une petite recherche pour connaître la bibliographie d'un auteur prolifique et si elle comporte des séries, ce que je ne fais pas systématiquement. Des trilogies, des tétralogies, c'est gérable, mais lorsque plusieurs publications d'un auteur gravitent autour d'un personnage, c'est facile de s'y perdre et de s'en fatiguer.
Sur le site de Louise Penny, on peut trouver la nomenclature de ses romans; je l'ai mise dans mes favoris pour m'y référer au besoin... je dis bien au besoin...
Pour revenir sur ce roman, j'ai éprouvé beaucoup de plaisir avec celui-ci... Aucune surprise avec les personnages récurrents, auxquels se sont ajoutés de nouveaux liés à l'histoire, des personnages relativement crédibles... Le rythme était soutenu, le contexte intéressant, l'issue assez inattendue. J'ai cependant été agacée par les nombreuses références à la nourriture... Comme avec Brouillet qui m'énarve avec ses recettes, ses placements de produits, de restaurants... Un trait commun aux auteures québécoises de romans policiers? Bref, je l'ai aimé et je le recommande.
P.S. Nicole, c'est bien Maisons de verre qui le précédait... j'ai donc lu dans un certain ordre...
Je note ici une belle phrase tirée du roman... Leur vie ne devait pas être définie par leur mort. Ils appartenaient non pas à la douleur perpétuelle, mais à la beauté de leur courte existence.
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