Avec Askja, publié en octobre 2019, il m'a amenée en Islande, un pays nordique avec ses noms difficiles à prononcer et à retenir... A part la capitale, Reykjavik, les autres sites islandais me siphonnaient une grande énergie alors que je devais les relire pour les faire résonner dans ma tête. Pour le reste, le contexte de ce roman de 368 pages numériques était très plaisant et dépaysant. On comprend tout de suite le rôle des personnages qui sont assez caricaturaux et malheureusement prévisibles. Manque de suspense et rythme inégal. Beaucoup, beaucoup de dialogues stéréotypés. Le dénouement est par contre intéressant et inattendu, si on exclut évidemment que le principal personnage ne mourra pas (désolée d'avoir donné le punch....).
Dans le désert de cendre de l’Askja, au cœur de l’Islande, le corps d’une jeune femme assassinée reste introuvable. Près de Reykjavik, des traces de sang et une bouteille de vodka brisée au fond d’un cratère, mais là non plus, pas le moindre cadavre. Et dans les deux cas, des suspects à la mémoire défaillante. Ces crimes rappellent à l’inspecteur Kornelius Jakobson, de la police criminelle de Reykjavik, le fiasco judiciaire et policier qui a secoué l’Islande au milieu des années 70 : deux crimes sans cadavres, sans indices matériels, sans témoins, que des présumés coupables finissent par avouer sans pourtant en avoir le moindre souvenir.Je suggérerais par contre aux lecteurs d'avoir un atlas ou un moteur de recherche à portée de la main, histoire de mieux se situer dans ce magnifique pays. Une lecture de vacances qui donne le goût de visiter cette contrée.
Oui pour faire une visite de ce beau coin du monde, mais il faudra beaucoup d'argent...un héritage imprévu peut-être!
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