jeudi 30 janvier 2020
Carrisi, si si si!
Sept ans après s'être mesurée au Chuchoteur, Mila Vasquez travaille aux Limbes, le département des personnes disparues. Incapable d'éprouver la moindre émotion et portant dans sa chair la marque des ténèbres, Mila excelle dans la recherche de ceux qui, un jour, se sont évanouis dans la nature. Elle seule ne peut oublier ces « victimes potentielles d’homicides ». Soudain, l’un d’eux réapparaît... et tue. Un à un, ceux dont les portraits ornent les murs des Limbes, reviennent, transformés en assassins. Epaulée par l’agent spécial Simon Berish, expert en interrogatoires et féru d’anthropologie, Mila devra échafauder une hypothèse convaincante, solide, rationnelle. Une « hypothèse du mal ». (source : Le Livre de poche).
Avec la lecture de L'écorchée (Ed. Calmann-Levy, 2013, 279 pages numériques) de Donato Carrisi, j'ai finalement complété sa série de quatre romans sur Mila Vasquez. Je n'avais pas prévu le lire, surtout qu'un commentaire trouvé sur L'Égarée, le troisieme de la série, le rendait moins intéressant. Comme je voulais arrivée bien préparée à notre premier club de lecture où, avec ma voisine, on avait convenu de lire L'Égarée, j'ai enfilé le no 2 de la série. Et je ne l'ai pas regretté!
Pour avoir maintenant lu toute la série, je peux dire que les dénominateurs communs sont la traduction aseptisée, le rythme égal, les changements inattendus et déstabilisants de décor et de situations, les personnages énigmatiques, les histoires pas banales, les chapitres courts et les couvertures magnifiques. C'est à la limite du thriller psychologique. L'issue est toujours surprenante.
C'est une série et un auteur que je recommande. J'ai d'autres romans de Carrisi dans ma PAL, mais je les réserve pour plus tard, lorsque je m'en ennuierai.
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mercredi 22 janvier 2020
Cher Donato,
Cher Donato, je viens de passer au travers des 285 pages (numériques) de ton L'Égarée, le troisième de ta série Mila Vasquez, publié en 2018. À ce jour, j'ai lu Le Chuchoteur et Le Jeu du Chuchoteur. Et je lirai très bientôt L'Écorchée pour compléter cette série et parce que c'est de toi et de cette série dont je parlerai à notre prochain club de lecture de polars.
Sauf pour quelques invraisemblances (le niveau de vocabulaire d'une fille séquestrée de 13 à 28 ans), et l'attente de voir apparaître Mila jusqu'à la toute toute fin (même si c'est sa série...), j'ai bien aimé ma lecture. La traduction est bien, le rythme était soutenu, les personnages sont intéressants même si peu charismatiques, et les revirements de situation inattendus m'ont gardée en haleine. Aussi, la couverture de tes romans me plaît beaucoup et c'est sûrement ce qui a influencé mon choix dans le cas du Chuchoteur. Je vais le recommander!
Sauf pour quelques invraisemblances (le niveau de vocabulaire d'une fille séquestrée de 13 à 28 ans), et l'attente de voir apparaître Mila jusqu'à la toute toute fin (même si c'est sa série...), j'ai bien aimé ma lecture. La traduction est bien, le rythme était soutenu, les personnages sont intéressants même si peu charismatiques, et les revirements de situation inattendus m'ont gardée en haleine. Aussi, la couverture de tes romans me plaît beaucoup et c'est sûrement ce qui a influencé mon choix dans le cas du Chuchoteur. Je vais le recommander!
Résumé de l'influenceuse Mes évasions livresques, 3 octobre 2018, site de BePolar.fr): Troisième volet de la trilogie du chuchoteur, L’égarée est un thriller puissant et angoissant. Il est préférable d’avoir lu Le chuchoteur et L’écorchée au préalable mais vous pourrez cependant suivre sans l’avoir fait ;)Au début du roman, une jeune fille, Samantha, est découverte dans les bois, nue avec une jambe cassée. Elle vient de s’enfuir après une longue période de séquestration mais ne se rappelle de rien. Prise en charge dans un hôpital, elle est suivie par un spécialiste, le docteur Green, qui va s’efforcer à lui faire revenir tous ses souvenirs afin d’arrêter le ravisseur. En parallèle, à l’annonce de la réapparition de la jeune fille, le privé, Bruno Genko, décide de reprendre l’enquête qu’il avait mené lors de sa disparition...
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dimanche 19 janvier 2020
Les ornières littéraires
Je tombe inévitablement dans les mêmes ornières littéraires, celle du polar entre autres... Bosch, mon talon d'Achille, mon chant de sirènes... Je n'oppose aucune résistance...
L'oiseau des ténèbres de Michael Connelly (Éd. Seuil, 2004, 358 pages numériques).
Pourquoi Terry McCaleb, ex-agent du FBI, a-t-il accepté d'analyser un dossier criminel que lui a apporté Jaye Winston, une de ses anciennes collaboratrice du Bureau ? Trois ans après son opération cardiaque, marié et père de famille, Terry n'aspire qu'à la tranquillité. En apparence, car l'affaire que lui soumet Jaye semble le mettre à nouveau sur la piste d'un serial killer, sa spécialité. Le modus operandi du criminel révèle un tueur sadique. Sa victime, Edward Gunn, un délinquant connu des services de police de Los Angeles, bénéficia jadis d'un non-lieu pour l'assassinat d'une prostituée. Malgré lui, Terry est captivé par le dossier. Le profil psychologique le mène sur la piste inattendue d'un homme qu'il estime : l'inspecteur de troisième classe Harry Bosch. Pour l'heure, celui-ci est le témoin essentiel de l'accusation, au procès de David Storey, un metteur en scène sulfureux accusé du meurtre d'une jeune comédienne. L'Oiseau des ténèbres marque un tournant dans l'univers de Connelly : c'est la première confrontation entre ses deux héros, McCaleb, rencontré dans Créance de sang, et Harry Bosch, personnage principal, entre autres, de La Blonde en béton et de L'Envol des anges. Avec subtilité, l'auteur joue avec les faux-semblants et installe le doute au fil des pages, pour le plus grand plaisir du lecteur aspiré par cette intrigue tracée au cordeau, et fasciné par les méandres de la perversité des protagonistes. Du bon Connelly ! Claude Mesplède
Tout ce qu'Hollywood compte de stars vibre au procès de David Storey, un producteur que l'inspecteur Harry Bosch s'est juré de confondre à la barre, lorsque Terry McCaleb, le héro de Créance de sang, reçoit la visite de l'inspectrice Jaye Winston qui n'arrive toujours pas à élucider l'assassinat d'un petit malfrat, Edward Gunn. McCaleb jette un coup d'œil au dossier et reste pétrifié par ce qu'il découvre : les mains dans le dos et la tête dans un seau, Gunn s'est étranglé lui-même en resserrant le nœud coulant relié à ses pieds. Plus étrange encore, sur son bâillon, le tueur a écrit « prends garde, prend garde, Dieu voit ». Où le meurtrier voulait-il mener la police avec ces mots ? Telle est l'énigme que doit résoudre McCaleb s'il ne veut pas céder à l'évidence ; l'assassin de Gunn est un flic passé de l'autre côté - celui des ténèbres.
Pour avoir vu les épisodes de Bosch basés sur ce roman (et quelques autres),je connaissais l'issue et 'oublier' les scènes était un peu difficile, mais c'est là que Michael Connelly révèle son talent d'écrivain. Par le rythme, les dialogues, la personnalité des protagonistes, juste ce qu'il faut de détails pour visualiser le contexte, il te garde captif jusqu'à la toute fin! Comme je ne lis pas ses romans dans leur ordre chronologique de parution, il m'est difficile de voir si cet auteur se bonifie, mais chose certaine, il a ses adeptes, ses fans finis comme moi. Je recommande cet auteur et ses oeuvre sans aucune réserve!
L'oiseau des ténèbres de Michael Connelly (Éd. Seuil, 2004, 358 pages numériques).
Pourquoi Terry McCaleb, ex-agent du FBI, a-t-il accepté d'analyser un dossier criminel que lui a apporté Jaye Winston, une de ses anciennes collaboratrice du Bureau ? Trois ans après son opération cardiaque, marié et père de famille, Terry n'aspire qu'à la tranquillité. En apparence, car l'affaire que lui soumet Jaye semble le mettre à nouveau sur la piste d'un serial killer, sa spécialité. Le modus operandi du criminel révèle un tueur sadique. Sa victime, Edward Gunn, un délinquant connu des services de police de Los Angeles, bénéficia jadis d'un non-lieu pour l'assassinat d'une prostituée. Malgré lui, Terry est captivé par le dossier. Le profil psychologique le mène sur la piste inattendue d'un homme qu'il estime : l'inspecteur de troisième classe Harry Bosch. Pour l'heure, celui-ci est le témoin essentiel de l'accusation, au procès de David Storey, un metteur en scène sulfureux accusé du meurtre d'une jeune comédienne. L'Oiseau des ténèbres marque un tournant dans l'univers de Connelly : c'est la première confrontation entre ses deux héros, McCaleb, rencontré dans Créance de sang, et Harry Bosch, personnage principal, entre autres, de La Blonde en béton et de L'Envol des anges. Avec subtilité, l'auteur joue avec les faux-semblants et installe le doute au fil des pages, pour le plus grand plaisir du lecteur aspiré par cette intrigue tracée au cordeau, et fasciné par les méandres de la perversité des protagonistes. Du bon Connelly ! Claude Mesplède
Tout ce qu'Hollywood compte de stars vibre au procès de David Storey, un producteur que l'inspecteur Harry Bosch s'est juré de confondre à la barre, lorsque Terry McCaleb, le héro de Créance de sang, reçoit la visite de l'inspectrice Jaye Winston qui n'arrive toujours pas à élucider l'assassinat d'un petit malfrat, Edward Gunn. McCaleb jette un coup d'œil au dossier et reste pétrifié par ce qu'il découvre : les mains dans le dos et la tête dans un seau, Gunn s'est étranglé lui-même en resserrant le nœud coulant relié à ses pieds. Plus étrange encore, sur son bâillon, le tueur a écrit « prends garde, prend garde, Dieu voit ». Où le meurtrier voulait-il mener la police avec ces mots ? Telle est l'énigme que doit résoudre McCaleb s'il ne veut pas céder à l'évidence ; l'assassin de Gunn est un flic passé de l'autre côté - celui des ténèbres.
Pour avoir vu les épisodes de Bosch basés sur ce roman (et quelques autres),je connaissais l'issue et 'oublier' les scènes était un peu difficile, mais c'est là que Michael Connelly révèle son talent d'écrivain. Par le rythme, les dialogues, la personnalité des protagonistes, juste ce qu'il faut de détails pour visualiser le contexte, il te garde captif jusqu'à la toute fin! Comme je ne lis pas ses romans dans leur ordre chronologique de parution, il m'est difficile de voir si cet auteur se bonifie, mais chose certaine, il a ses adeptes, ses fans finis comme moi. Je recommande cet auteur et ses oeuvre sans aucune réserve!
L'intérêt et l'enthousiasme pour le roman policier sont indéniables. Je l'ai constaté lors de notre première réunion du club de lecture de polars mis sur pied dans notre village. Alors que certains étaient plus réservés, d'autres, comme moi, avaient de la difficulté à contenir leur passion pour le genre. Le bon côté d'un club de lecture thématique, c'est qu'on n'a pas à convaincre personne de lire un genre différent.
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vendredi 17 janvier 2020
Les petits meurtres de mon village
Tête en compote ce matin. Nuit (encore) trop courte. Et il fait moins 20...
Hier, c'était la première rencontre du club de lecture de polars de mon petit village. Nous étions dix : huit femmes et deux hommes. Dix amoureux de polars. A part moi et un gars, tout le monde semblait faire partie du club de lecture de la bibliothèque de la ville voisine. Bref, le groupe semble assez homogène. L'instigateur de ce club a sondé le groupe pour établir les grandes lignes. Ça s'annonce bien. Les noms d'auteurs et les titres fusaient de partout! Nous sommes tous enthousiastes! Et déjà, ma PAL a pris quelques livres....
samedi 11 janvier 2020
Andrée A. Michaud : Tempêtes
Mon deuxième Andrée A. Michaud, et sûrement pas le dernier!
Dans ma recherche d'un bon résumé de ce roman, je suis tombée sur cet article de Marie-France Bornais (Journal de Mtl ,12 octobre 2019) qui résume bien et le roman et l'esprit du roman de 287 pages numériques paru en septembre 2019.
Auteure du best-seller Bondrée, un roman récompensé de plusieurs prix, Andrée A. Michaud propose dans Tempêtes une histoire inquiétante, sombre à souhait, où la folie se faufile à travers la fureur des éléments. Cette histoire déroutante se déroule sur deux saisons, d’un versant et de l’autre de la mystérieuse Cold Mountain. Frissons d’horreur garantis.Quelque part dans les montagnes qu’on devine être dans le sud-est du Québec, Marie, une femme seule, vient d’emménager dans une maison léguée par son oncle, mort mystérieusement. Déterminée à découvrir la vérité (meurtre ou suicide ?), elle est freinée dans sa quête par un blizzard effrayant. Son histoire s’imbrique dans le deuxième récit, se déroulant en pleine canicule. Cette fois, c’est un homme, seul sur un terrain de camping, qui est surpris par de violents orages. Autour de lui, des cadavres apparaissent, portés par les eaux en crue. La nature prend le dessus dans Tempêtes, et Andrée A. Michaud décrit avec finesse l’atmosphère oppressante qui s’installe sur les deux versants de Cold Mountain. «C’est toujours un lieu qui m’inspire mes romans, dit-elle, en entrevue. Il y a une montagne, près de chez moi, qui n’est pas gigantesque comme celle que je décris dans Tempêtes, mais qui m’impressionne toujours. Et quand on arrive à cette montagne par une petite route, on a vraiment l’impression d’être avalé par la montagne. C’est un peu ce que je décris.» Deux récits qui se rejoignent. En cours d’écriture s’est présentée une idée concernant un terrain de camping. «Je n’arrivais pas à me brancher entre mes deux idées, j’étais attirée à la fois par l’une et par l’autre. Écrire deux romans en même temps ? Pourquoi pas! J’ai fait en sorte que ces deux récits se rejoignent, chacun sur un versant de la même montagne.» Andrée A. Michaud dit qu’elle n’est pas «la fille la plus brave au monde», et que se retrouver dans un chalet isolé, en pleine tempête, la ferait peut-être paniquer comme son personnage. Mais Marie ne lui ressemble pas. «J’ai vécu assez longtemps proche de la nature pour savoir que ce n’est pas la nature qui est dangereuse, ce sont les êtres humains qui peuvent l’habiter.» Marie, justement, est une personne relativement équilibrée, mais un brin fragile. «Elle arrive à un point de son existence où elle ne sait plus trop où elle s’en va. Il y a cet oncle qui meurt et lui lègue sa maison, et sans trop réfléchir, elle y déménage tout de suite, sans prendre le temps de penser à l’isolement de la place. Et c’est là que tout dégénère.»Andrée A. Michaud a une fascination pour la nature déchaînée, qui prend le contrôle sur tout. «Quand j’essaie de décrire une tempête ou un orage, je suis heureuse parce que j’aime que ces éléments se déchaînent. Je trouve ça beau.»Faire peur. Malgré la violence de certaines scènes, elle a pris plaisir à penser qu’elle allait susciter des émotions et une certaine angoisse à ses lecteurs. Leur faire peur, même. «Quand on écrit un roman qui se veut un roman d’horreur, c’est le but qu’on poursuit ! J’ai pris plaisir à faire les descriptions des tempêtes, à faire en sorte que Marie se dirige lentement mais sûrement vers la folie. Et si le genre est si populaire, c’est qu’on aime avoir peur!» Et elle, qu’est-ce qui lui fait peur? «Entendre un bruit qu’en principe, je ne devrais pas entendre, ou entendre la voix de quelqu’un qui n’est pas là, ça pourrait me faire peur... mais ça ne m’est jamais arrivé!»
J'ai trouvé l'écriture très dense, me gardant parfois en apnée. J'ai d'abord cru à une histoire de schizophrénie, mais comme le passage de la normalité à la psychose est parfois étroit, on confond souvent les deux au fil des pages. Les personnages se perdent dans leur folie, et moi dans la leur... C'est un roman sombre, sans véritable aboutissement. Je ne suis pas une experte en romans noirs et en thrillers, mais pour m'avoir gardée en haleine tout le long, je le recommande. Et je recommande cette auteure!
Nous aurons un club de lecture de polars dans mon petit village. Première réunion prévue cette semaine. Excitée je suis!
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dimanche 5 janvier 2020
Première lecture de 2020 : un roman policier!
Lorsque je l'ai choisi parmi mes 57 pages de titres dans ma liseuse, c'est avec le désir de ME faire plaisir. Je veux bien découvrir de nouveaux auteurs, sortir de ma zone de confort, mais ce soir-là, un des premiers de 2020, j'ai opté pour une bonne vieille paire de pantoufles!
Résumé :
Missions « haute tension » pour Bosch : traquer un violeur en série et retrouver un héritier que certains n’ont aucune envie de voir apparaître dans le tableau. Aussi glaçant que profondément émouvant. À présent inspecteur de réserve au San Fernando Police Department, Harry Bosch est un jour contacté par Whitney Vance, un magnat de l’industrie aéronautique qui, sentant sa mort prochaine, voudrait savoir s’il n’a pas un héritier auquel léguer sa fortune. Dans sa jeunesse, le vieil homme est tombé amoureux d’une Mexicaine prénommée Vibiana, mais l’a quittée sous la pression de sa famille. Aurait-elle eu un enfant de lui ? Cette question n’étant pas du goût de son conseil d’administration et de quelques autres requins avides de se partager le gâteau, Bosch se retrouve immédiatement en danger. Pour corser le tout, au commissariat où il travaille, ses collègues recherchent plutôt maladroitement un violeur en série au mode opératoire particulièrement redoutable. Et c’est Harry Bosch qu’on appelle pour résoudre l’affaire. Entre la traque du violeur et la quête éminemment périlleuse d’un possible héritier dont personne ne veut, Bosch est mis à rude épreuve, d’autant plus qu’il se retrouve confronté à un passé qui le plonge à nouveau dans de graves angoisses existentielles. (source : bepolar.fr)Avec Sur un mauvais adieu de Michael Connelly (375 pages, 2018), pas de surprise, pas de déception. La qualité est constante. Harry vieillit bien. Le contexte est bien documenté, le rythme et l'intérêt sont soutenus grâce à plusieurs revirements de situation. Parfait pour les insomniaques ménopausées...
Bilan 2019, résolutions 2020... bla, bla, bla...
Une nouvelle année, c'est le temps des résolutions et des défis... et parmi eux, chez de nombreux blogueurs littéraires, celui de lire plus de livres, de lire «x» nombre de livres au cours des douze prochains mois. bla, bla, bla....C'est aussi le temps des bilans, des comptes, des impôts, des budgets...
Je n'aime pas tous les défis, et encore moins me faire dire quoi faire ou de perdre du poids! Côté lecture, j'ai un appétit qui varie au fil du temps et des saisons, de mes tâches mais surtout de mon énergie. J'ai toutefois décidé de faire le compte de mes lectures de 2019 et à ma (très) grande surprise, compte tenu du temps que j'y consacre, j'ai lu 38 romans! 38, dont certains que je ne me souvenais même plus, d'où la justification de ce blogue!
Alors, je me donne une bonne tape sur l'épaule et me congratule chaudement!
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