Les critiques à l'égard de Maxime Chattam sont très positives. Ses fans sont inconditionnels. Mais je n'en ferai pas partie.
Bienvenue à Val Quarios, une "jolie petite station familiale" où la mort rôde avec la gourmandise d'une tempête d'été.
« Le grand mensonge de l’immortalité personnelle détruit toute raison, toute nature de l’instinct – tout ce qui, dans les instincts, est bienfaisant, favorise la vie, garantit l’avenir, désormais suscite la méfiance. Vivre de telle manière que vivre n’ait plus de sens, voilà désormais qui devient le sens de la vie. »
« J’appelle dépravé tout animal, toute espèce, tout individu qui perd ses instincts, qui choisit, qui préfère ce qui lui fait mal. »
L’Antéchrist, Friedrich Nietzsche.
Mais voilà, il ne m'a pas impressionnée ni séduite... Bonne entrée dans le sujet mais après, calme plat. Apparaissait régulièrement un début de suspense, mais voilà, la flamme s'éteignait immédiatement. Le personnage principal était différent de la description qu'il faisait de lui-même en début de roman; les autres, on pouvait facilement se les imaginer car leur description était assez juste. La trame de l'histoire était pourtant assez intéressante. Disons que Chattam a dévié mon attention ailleurs pendant un bon bout de temps, rendant le dernier quart du roman plus distrayant. Je m'attendais à un roman plus étoffé, plus solide, plus mature. Le vocabulaire était plutôt ordinaire... C'est mon premier Chattam et à moins d'une critique vraiment convaincante, ce sera mon dernier.
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