samedi 11 avril 2020

Dard, mon plaisir coupable!

Frédéric Dard, on l'aime ou pas... J'ai trop de doigts dans une seule main pour compter les personnes qui l'aiment dans mon entourage. Mais, moi, son commissaire San-A., c'est mon pote de vacances, de vraies vacances... J'en amène toujours une dizaine dans mes bagages.






La rate au court-bouillon, Ed. Fleuve Noir, 1965, 137 pages en format numérique).

Résumé : Je ne pouvais pas imaginer qu'un jour je verrais un spectacle pareil ! Bérurier évoluant parmi l'élite mondiale, cohabitant avec tout ce que la Terre a pu produire comme rois, reines, présidents, milliardaires, sommités artistiques... Je vous jure qu'il faut avoir vu ça au moins une fois dans son existence ! Et si tout ce gratin (dont nous étions) n'avait pas été à deux doigts de l'anéantissement atomique, j'aurais ri, mais ri, à m'en mettre la rate au court-bouillon !

Dard, je l'aime pour son intelligence, pour son habileté à jouer avec les mots, pour ses calembours, parce qu'il est irrévérencieux, parce qu'il me fait rire, et qu'en cette période de confinement, c'est bienvenu le rire! Ses personnages sont inclassables! Dard voit et entend des choses qui échappent au commun des mortels. Ses romans sont courts et s'intercalent très bien entre deux «briques» ou deux lectures plus «heavy». Mon plaisir coupable!

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