J'ai demandé à Nicole si Les Bottes suédoises était la suite de Les Chaussures italiennes (Ed. Points, 2009, 268 pages numériques) de Henning Mankell. Lorsque j'en achevé la lecture à l'aube - il était trop tôt pour me lever... - j'étais restée sur mon appétit. Je m'attendais à une autre finale...
L'oeuvre de Mankell est colossale! Je n'ai pas encore lu toute la série des Wallander, c'est tout dire! Mais là, après une diète constituée de romans policiers, j'avais besoin de lire autre chose, et cette autre chose, elle était dans ma PAL depuis quelque temps...

Il y a quelques petits irritants dans les romans suédois : les noms imprononçables et le tutoiement! Dans celui-ci, le personnage principal est le narrateur. Qu'il tutoie son facteur ou une ancienne fiancée, je ne m'en formalise pas, mais qu'on le tutoie d'emblée au fil des rencontres et qu'il fasse la même chose, ça m'énerve! Ceci dit, plutôt écrit, je dois reconnaître que j'y ai trouvé le calme, même si quelquefois relatif, que je recherchais. Excellente traduction, rythme soutenu, situations inattendues, fin laissant sous-entendre une suite! Excellent roman!
Tu me l'as effectivement demandé et je t'ai répondu:«ce sont les mêmes personnages, il y a des liens il me semble, mais ça fait longtemps que je les ai lus». J'ai aimé un peu plus Les bottes suédoises. J'avais trouvé qu'il y avait plus d'action...
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