dimanche 4 octobre 2020

On lit du scandinave!

Thème imposé pour notre rencontre d'octobre (si nos charmants et ingénieux fonctionnaires le veulent bien, évidemment!) : les auteurs de polars scandinaves. Parfait!  Pierre T. nous en a fait une liste et j'en ai quelques-uns en réserve!

Mon seul problème avec les romans scandinaves, c'est les noms de lieux, de personnes. Mon amie Nicole les saute, mais c'est plus fort que moi, je m'arrache les yeux et me chauffe les synapses à les lire. Pour le reste, il y a toujours le web pour nous montrer les lieux, souvent magnifiques.

Autre chose : j'ai encore commencé une série par la fin... sans même m'en douter tellement il n'y avait pas de références aux trois tomes antérieurs. Mais comme la fin laissait entrevoir une suite, j'ai fait une petite recherche pour découvrir non seulement que le tome 5 existe, mais qu'il n'est pas encore traduit.

J'ai tout de même eu beaucoup de plaisir avec ce roman d'Emilie Schepp, une auteure suédoise, La marque du père, paru aux Editions Harper Collins en 2020 (368 pages). 

Résumé. En ce début de soirée, Sam Witell s’absente de sa maison pour une course rapide. À son retour, il a tout perdu : sa femme a été assassinée, son fils, Jonathan, six ans, a disparu. L’œuvre d’un pédophile ? d’un psychopathe ? Sous la houlette de la procureure Jana Berzelius, les policiers Henrik Levin et Mia Bolander enquêtent. Si leur soupçon porte d’abord sur le père, ce dernier semble avoir un solide alibi. Pourtant, de nombreuses zones d’ombre subsistent dans cette famille en apparence bien lisse… Pourquoi la défunte mère était-elle dépressive ? Jana Berzelius doit démêler cette affaire aux ramifications complexes tandis que son passé de tueuse menace de refaire surface. Il va falloir frapper vite, et fort…

Mon avis. Superposition, entremêlement d'histoires, d'événements, de retours en arrière, mais d'une manière très habile. Le rythme va croissant et m'a fait dévorer le dernier tiers d'une traite. J'aurais aimé que Schepp approfondisse un peu plus le caractère, la psychologie de chaque personnage (c'est peut-être là que la lecture des trois premiers tomes m'aurait été utile), surtout les plus improbables comme Berzelius et Pena. La fin m'a laissée sur ma faim... Je garderai l'oeil ouvert pour le cinquième, Broder Jakob.

1 commentaire:

  1. Hé oui! Mais parfois quand le même nom revient trop souvent, je retiens les 3-4 premières lettres. C'est comme lui donner un surnom pour faciliter son rôle dans l'histoire.
    Ton amie Nicole

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